yoananda2

@micnet

Comme te l’a expliqué Jean Keim, à partir du moment où on arrête de faire du littéralisme, on commence à aborder les textes différemment et on sort du simplisme...

pour aboutir au bricolage !

ouai, on est au courant père et moi.

Vous êtes les seuls à faire un blocage là-dessus.

ouai, la haine nous dévore, ça doit être ça

@micnet

Pour empêcher que les dîners du CRIF continuent d’avoir lieu et pour empêcher, de façon générale, que le pays continue à s’américaniser.

tu veux l’empêcher comment puisque c’est déjà censé être "interdit" mais que ça se fait quand même ? tu vas l’interdire "encore plus" ?

(je suis un peu sarcastique mais ma question est sérieuse d’autant plus que je n’aime pas bien ces diners là non plus)

Du temps de De Gaulle, cela n’aurait jamais été possible

pourtant on est dans la même république que je sache.

@micnet

Et puis Spinoza était juif donc il n’avait strictement aucune raison d’avoir une quelconque admiration pour Jésus

ben si justement : jésus était juif aussi ... 

on peut tout à fait ne pas croire en la divinité de Jésus, même être athée complet tout en estimant que le message du Christ était un message parfaitement rationnel et humaniste

on peut aussi trouver son message tout pourri comparé à d’autres messages à prétention spirituelle ou religieuse.

@Gollum

Nul doute que Spinoza a jeté un peu de lest, critiquer Jésus à l’époque ça pouvait être dangereux, il a donc louvoyé, voulant peut-être faire plaisir à son ami, lui attribuant de la sagesse mais finalement rejetant les miracles et sa divinité... 

ouai, alors moi j’ai remarqué un truc dans les extraits proposés. Pitet que j’me trompe hein, je dis ça sans prétention, mais quand il fait l’éloge de il dit "l’esprit de jésus christ", et pour moi ce n’est pas du tout anodin. C’était un philosophe, chaque mot compte, c’est pas du micnet dans le texte. Donc il parle de l’ESPRIT de jésus christ, qu’il trouve admirable, mais ça ne l’empêche pas d’être critique du personnage de Jésus, du gugus... il y a l’esprit qui l’animait, et le gugus... et c’est tout sauf anodin selon moi cette distinction.

Une manière de louvoyer certes, mais tout en disant pour lecteur attentif : bah c’est juste l’esprit de machin que je loue et pas machin... 

@JL

Le citoyen lambda est soumis aux vices des corporations qui sont par définition amorales, Elles deviennent carrément immorales .quand un milliardaire fou en est le maître, suivez mon regard.

les multinationales doivent être légales, pas morales, elles sont là pour faire du profit, pas le bien. Ca ne me pose pas de problème personnellement. 

qu’est-ce qui est moral selon toi au juste ? ou plutôt, qu’est-ce qui doit l’être ?

les partis politiques par exemple, c’est moyen niveau "morale" je trouve, ils sont la pour gagner les élections et s’essuient les pieds sur pas mal de principes moraux je trouve. 

tu dis que la perversion a été de faire des entreprises des "citoyens" (des sortes d’humains donc) comme les autres mais dire que le citoyen est soumis aux "vices" des corporations, n’est-ce pas précisément faire ce que tu leur reproche, en fait des "humains" (avec des vices) ?